Acte I : Le Bal Masqué [ Sujet Commun ]

**Invité**Invité

Oh la la la , Anne regardais l’horloge figurant dans sa chambre entouré de sa sœur , Élisabeth et de son frére cadet . La pièce était assez grande et il commençait à faire chaud à l’intérieur le feu de bois étant allumé .
LA jeune femme scruta la pièce . Une robe bleu étaient par terre prés du coffre rempli d’effets de la comtesse . Assise sur le lit elle buvais un ver de vin tandis que son cher cadet lui chatouillais le coup
-Arrête lui dit t’elle
-Il est vrai que se coup la est pour le roi soufflas t’il dans sa chevelure
-Oh vous allez vous taire , Anne vient je vais t’habiller
-Oui mère dis je en m’avançant
Sa sœur si belle était devenu aussi sage q’une image depuis son mariage se contentant de plaire à son époux , soumise à son bon plaisir soit le total contraire d’Anne .
LA chaleur lui faisait monter des couleurs rouges au teint . Afin d’apaiser cela , elle rebu un verre de vin tandis que sa sœur tel une dame d’honneur lui laça le corset faisant remonter ses tétins et rentrer son vente . La robe était de couleur rouge , rouge carmin faisant ressortir de cette manière la peau blanche de la demoiselle . En velours celle-ci était sublime d’autant plus que des fils d’or cheminaient dessus . Sa sœur souris devant elle et dessanda les manches de la robe afin de laisser voir les épaules avant de les recouvrir d’une petite cape grise
-Avez-vous des nouvelle du duc ?
Elisabeth lui fit signe de se taire de nouveau et lui mis ses chaussures avant de l’amener devant la coiffeuse . LA elle jugea opportun de ne pas mettre de coiffe , seulement une manille avec quelque perles blanche laissant voir quelques mèche blonde ondulé vagabonde .
-On croirai que vous me préparez pour ma nuit de noce
A ces mots son frère éclata de rire en pensant à cet époux trop souvent rendu cocue par sa femme infidèle et qui n’avait pas su la rendre heureuse . Il le détestait et vivait dans la pensé qu’il violentait sa chère sœur . Ces mauvais souvenir délaissa l place à la vision d’Anne souriant .
Elle était assise ,s e laissant faire , offerte à sa sœur qui la maquillait . D’abord les yeux afin de les faire ressortir derrière le masque puis la bouche qui devient rouge .
-Bien à toi de me lassais le corset et vite nous sommes en retard
LA cadette toute fardé s’exécuta et mis une robe marron sage à son ainé . Fin prête , elles mirent leurs masques et accompagné d’un homme purent déambuler en pleine nuit dans le château suivant comme bruit celui de la musique . Celle-ci était gai , enjoué et Anne avait hâte de danser en compagnie d’un bel et galant homme . Elle s’agrippa au bras du petit dernier des bukigham afin de prendre comme de la force . LA elle vit la porte laissant apercevoir la cour toute en ébullition . Elle demanda à ne pas être annoncé pour que le suspense dur .
Se dirigeant au milieu de la salle , elle laissa tomber sa cape et marcha dans le but de voir qui était la . Au centre ce trouvait au puille Margaret douglas qui venait de danser . Anne eu le bonheur de voir que celle-ci c’était très bien débrouillé . DE loin , elle vit Evangeline sa rivale qui buvait
*Pour oublier sa peine ! *
Puis son regard se porta sur un couple de jeune gens soit Aymeric et la fille de l’ambassadeur *Tient il n’est pas avec sa maitresse ? *
Elle se dirigeai vers eux quand son regard alla vers la table royale . A se moment elle plongea dans une révérence dont elle avait les secret puis chercha lady boleyn du regard afin de lui sourire . Bien qu’elle ne l’aimait pas en raison de l’intérêt que le roi lui portait , elle savait que son temps en tant que femme aimer était passée . Soutenant devant la femme de l’ambassadeur sa haine contre la jeune femme en réalité elle détestait plus cette allemande préférant savoir une anglaise dans le lit du roi . De plus jamais elle ne serait comme Anne , si parfaite élevé en France , alors qu’Evangeline blonde comme elle lui ressemblait un peu physiquement . Elle sourit pensant à la fois où elle lui dit
-Je fus sa première maitresse
Oui pour elle le temps des amours étaient passés laissant place à celui de l’amitié mais la rancœur elle reste toujours ! Amis voila un beau mot d’ailleurs elle avait besoin du soutient du monarque pour faire face à son frère et son époux voulant la remettre au couvent . Mon dieu . Elle se stoppa au centre afin d’être remarquée

Lorsqu'ils se mirent en position de danse, le cœur du jeune homme se mit à battre plus vite que la normale. Passant un bras autour de sa taille, il la rapprocha légèrement de lui et il émit un petit sourire quand il vit les joues de la jeune fille prendre une teinte un peu rose. Lui faisait-il de l'effet ? Il l'espérait de tout son cœur. Si elle savait à quel point il l'aimait mais il n'avait pas encore oser lui révéler ses sentiments et ce n'était pas ce soir-là qu'il allait le faire, jugeant qu'un moment intime serait plus propice à un aveux. Chaque nuit, il rêvait qu'il la tenait dans ses bras et goutait à ses lèvres et lorsqu'il se réveillait, il sentait comme une absence. Leurs corps étaient si proches de l'un l'autre, ce qui ne déplaisait pas à Aymeric. Il ne quitta pourtant pas la française des yeux, ni même lorsqu'ils commencèrent à danser. Il la guida si facilement. C'était comme s'ils ne faisaient plus qu'un. Du moins, c'était l'impression qu'il avait. Plus rien n'existait autour d'eux. Il n'y avait qu'elle et personne d'autres.

La jeune fille lui sourit quand il la complimenta sur sa beauté pour la soirée, bien qu'il la trouvait belle chaque fois qu'il la voyait. Lorsqu'elle se mit à rire, c'était d'un rire doux et serein. Il aimait l'entendre rire, même si c'était plutôt rare. Il désirait plus que tout être avec elle mais pour cela, il lui fallait d'abord révéler ses sentiments et ensuite avoir une certaine discussion avec Monsieur l'Ambassadeur de France. Rien qu'à y penser, cela inquiétait l'adolescent. Et si le père d'Aliénor refusait qu'il fréquente sa fille ? Il ne pense même pas que son frère, le roi, l'aiderait. Déjà que celui-ci refuse pour l'instant de lui adresser la parole.

Aliénor : - Merci beaucoup my Lord, mais je vous en prie; vous n'êtes pas obligé d'être si usuel envers moi.

Elle fut interrompue par un nouveau tour sur elle-même avant de reprendre :

Aliénor : Et appelez moi simplement Aliénor.

Son accent anglais était parfait et s'il ne savait pas qu'elle était française de naissance, elle pourrait se faire passer assez facilement pour une de ces jeunes filles de la noblesse anglaise. Mais même avec son accent français, cela lui donnait un charme auquel il ne pouvait pas résister. S'il n'y avait pas tout ce grand monde, peut-être aurait-il osé lui voler ne fut-ce qu'un tout petit baiser mais sur la joue bien que les lèvres de la demoiselle, rouge et pulpeuse, le tentaient également. Il se fit donc violence en lui-même et se contenta de lui sourire à son tour.

- Entendu ... Aliénor ! Dans ce cas, appelez-moi juste Aymeric !

La musique cessa de résonner au bout d'un instant et le brouhaha des invités reprirent le dessus. Aliénor lui adressa un nouveau sourire. Il ne se rendit pas compte qu'elle lui tenait toujours la main.

Aliénor : - Un rafraichissement serait-il de trop monseigneur?! Vous avez l'air aussi assoiffé que moi.

Sa voix était quelque peu tremblante mais toujours avec cette douceur qui fit chavirer le coeur du jeune homme. La voyant porter un instant sa main vers le visage de l'adolescent, le coeur de ce dernier fit un bond comme s'il voulait sortir de sa poitrine au contact de la jeune fille, sentant celle-ci faire glisser ses doigts le long de son visage. Aymeric se sentait comme hypnotisé par la belle rousse et il se laissa entrainer sans aucune résistance vers une fenêtre délaissée qu'Aliénor ouvrit de sa main libre avant de s'asseoir sur le rebord. Puis, elle reporta son attention sur lui et le regard tendrement alors qu'il la dévorait à nouveau des yeux.

- Veuillez m'exciser un instant ! Je reviens.

Il alla chercher deux verres d'eau fraiche et remarqua au passage Anne Standford. Il ne l'appréciait pas du tout car, croyant la rumeur qui avait fait de lui le soi-disant amant de Lady Evangeline, la jeune femme cherchait par tous les moyens inimaginable pour l'envoyer dans les bras de cette dernière. Or, c'était plutôt l'effet inverse. Il respectait lady Evangeline car elle était sa bienfaitrice, sa protectrice et même si au début il avait eu quelques sentiments pour elle, cela s'était transformer en une simple amitié respectueuse et loyale. Rien de plus. Alors pour se venger, il envoyait parfois des gentilshommes vers elle afin qu'elle le laisse tranquille. Dés qu'il eut les deux verres d'eau, il revint vers Aliénor, le sourire aux lèvres et lui tendant un des deux verres.

- J'espère que cela pourra vous rafraichir un peu.