© Leslie

....Prénom Nom . ♠ Nom : ♠ Prénom : Benjamin ♠ Date de Naissance : 11 janvier 1501 ♠ Lieu de Naissance : Venise , Italie. ♠ Age : 21 ans ♠ Groupe : Les sujets de la Couronne. ♠ Célébrité : Ben Whishaw

Mon Mental C'est un esprit vif que nous avons là. N'y a-t-il pas homme plus ouvert sur le monde ? Plus prompt à en connaitre chaque détails, à remarquer les choses les plus insignifiantes ? Ses yeux se posent sur chaque objets parcourant ce monde, sur toutes les ombres qui troublent la clarté du soleil levant. Il s'éveille au matin, et jusqu'au soir il observe, soucieux de se souvenir de chaque détails de ces journées bénies. Ainsi conscient au monde qui l'entoure, c'est un être qui décèle rapidement les imperfection et qui joue de ceux qui n'ont guère cet érudition de ce qui les entourent. C'est parce qu'il s'y conscient du monde et de ses détails qu'il est aussi dépeint comme un être créatif et inventif. Un artiste, en somme, doué évidemment, et qui joue la comédie avec un talent rare. Il copie le monde qui l'entoure avec une perfection proche de celle du Dieu des hommes. Il est marionnettistes, et les femmes, bien souvent, sont ses pantins. Car c'est un séducteur né. Aimant la vie, la musique et la bonne compagnie, il est un libertin. Il est de ceux qui sont haïs par l'église et critiqué par la cour, et ne s'en cache pas. Car sa vie lui plait telle qu'elle est. Avec ces filles de joies, et ces soirées de plaisir. Il chante l'amour, récite des poèmes enflammées de sa propre création. Joue des mots, des émotions, des désirs de celles qu'il veut posséder. Et il les possède la majorité du temps, car aucune femme ne résiste à la déclaration enflammée d'un jeune artiste libertin. Ainsi, s'il n'est pas reconnu comme comédien, sa poésie n'en ait pas moins appréciée. C'est un être qui sait jouer des mots, qui est érudit sans avoir jamais appris à lire. C'est un oisif, qui voue sa vie aux plaisirs et à la beauté. C'est un de ces êtres que tout le monde adore, et qui adore le monde. C'est un inventif, un créatif, un oisif. Et si tout cela, finalement, n'était qu'un leurre ? Car après tout, qui peut vraiment dire qui il est ? Il semble, en effet, qu'il porte toujours ce masque de joie et de légèreté. Que rien ne compte jamais pour lui à part son propre bonheur. Peut-on vraiment y croire, car après tout, il est très bon comédien.

Mon Physique C'est un être qui peut sembler bien chétif à première vue. De toute évidence, il ne mange pas aussi bien que les gens de la Cour, et ce physique lui rend son statu de simple paysan. Il est un de ces jolis garçons, qui, s'ils ne sont pas d'une beauté effarante, ont au moins le méritent d'émouvoir par leur physique de grands enfants. Et c'est de cela que joue Benjamin, alors que souriant candidement, il déclare sa flamme à une courtisane. C'est un être qui aurait le mérite d'être reconnu comme étant beau. Long et fin, son corps est un hymne à la beauté des hommes et surtout des artistes. Ses cheveux, bruns, tombent autour de son visage en de petites boucles sauvages et emmêlés, mais d'une douceur incroyable et d'un touché exquis. Son visage se forme de deux yeux d'un bleu gris qui pourrait paraitre froid, mais qui sont les portes d'une âme enfantine et gentille. S'il y a bien une infirmité sur son visage, elle est due à son nez, gros et quelque peu bossu, mais qu'il cache parfois en laissant ses poils recouvrir le bas de son nez et son menton. Et ce visage se termine par une bouche attirante et rose. Une bouche d'enfant, dont les lèvres ont déjà récolté maintes plaintes de bonheur et de plaisirs. Son cou est bien long, et laisse entrevoir une pomme d'Adam proéminente. Ses épaules pourraient être celles d'une jeune fille, bien qu'elles soient plus carrées. Son torse, dur et ferme, récolte les caresses données par les femmes, et leurs réponds par de petits frissons. Que dire de ses jambes alors ? Longues et fines, elles sont pourtant athlétiques de dignes des jambes de plus grands cavaliers du pays. Car elles sont musclées par les longues heures de cheval que Benjamin fit durant ses voyages, et par la marche. Et ce corps, il le cache sous des vêtements amples, bien souvent, car il n'a pas les moyens d'être habillé avec de la dentelle et des couleurs flamboyantes. Alors, il se contente de pantalon de toile noir ou bleu et de chemise, surmontées de vertes mal lavée et froissées. Enfin, parfois, il vole quelques chapeaux de passants de bonne famille pour les poser sur sa tête, rendant à son personnage son rôle d'artiste et de comédien.

Dear Diary

L'année 1501 les juifs étaient chassés de France sous les ordres du rois. Ce peuple, depuis toujours martyr, trouva refuge en Italie ou en Suisse. Une famille parmi tant d'autre attirée l'attention dans les longues fils de marcheurs, qui quittaient leurs provinces. Une femme et son jeune mari, qui marchaient, se tenant la main, en soupirant souvent d'une tristesse atroce, et qui s'arrêtaient aussi pour reprendre leurs souffle. Lui était fatigué à cause du travaille de paysan qu'il exerçait depuis son plus jeune âge. Elle, soufflait de douleur à cause de sa grossesse arrivée à terme. Ces français, qui ne l'étaient finalement pas vraiment, quittaient ce pays qu'ils avaient tant aimé avec un sentiment violent d'injustice qui enserrait leurs coeurs dans un étau de colère. Après plusieurs jours de marche, ils arrivèrent en Italie. Ils s'installèrent à Florence, où ils avaient de la famille, et c'est lors d'une rude soirée d'hiver que leur fils naquit. Il s'appelait Benjamin Vallois, et il sera leur seul enfant. Lors d'un accident quelques mois plus tard, dans les champs, la mère d'une jeune homme perdit beaucoup trop de sang, et les anciens furent formels : elle n'aura plus jamais d'enfant.
Belle petite chose c'est ainsi que sa mère l'appelait. Benjamin appréciait ce surnom autant qu'un autre. C'était une jeune enfant de huit ans, qui aimait courir dans les champs et que le travail rebuté. Mais ses parents ne lui laissaient pas le choix de découvrir le métier de paysan auquel il devra s'adonner tout au long de sa vie par la suite. Levé avec le soleil, il ne se couchait que longtemps après lui, et dormait très mal. Il avait un gout certain pour un luxe qu'il ne possédait pas. Ses parents désespéraient de le voir s'assagir un jour, mais l'enfant appréciait beaucoup trop jouer des autres, voler, se moquer, montrer du doigts les femmes aux grands chapeaux, ou soulever leurs jupes. Il était une véritable plaie, et personne ne semblait l'aimer autant que lui-même. Il était souvent dépeint comme un garçon narcissique. Il descendait à la rivière en dessous du village où ses parents avaient acquis une ferme à la mort de sa tante, et - disait-t-on - il regardait son reflet jouer sur l'eau pendant des heures. Ce n'était que pure mensonges, le garçon aimait bien trop la pêche et les jeux d'eau pour perdre son temps ainsi. Ses parents, avec les années, avec su faire pousser des fruits et des légumes sur leurs terrains. Ils avaient pu acquérir deux chevaux et des poules. La semaine, son père l'amenait à la ville pour vendre leurs produits, et le jeune homme disparaissait dans les ruelles, pour pouvoir écouter aux portes des vieilles dames. C'est elle qui bien souvent, raconter les meilleurs histoires avec une magnifique virtuosité. Ils les écoutaient durant des heures, et il gardait en mémoire chacune de ces fables qui l'enchantait. Il n'osait avouer cette passion pour la belle langue à ses parents. Très jeune il avait appris le français, car ses géniteurs ne connaissaient que cela, et il parlait tout aussi bien l'italien puisqu'il était né en ce beau pays qu'était l'Italie. Il espérait pouvoir rester longtemps un enfant, sa vie lui plaisait comme elle était. Puis vint le jour où sa mère commença à cracher du sang.
C'est une carte à jouer que Benjamin garda comme seul souvenir de sa défunte mère. Elle mourut en quelques semaines, et son père la suivit dans la tombe quelques temps plus tard avec qu'une épidémie de peste s'était emparée de la ville. La mort se trouvait partout autour de lui, et le jeune paysan, alors que la ferme de ses parents s'enflammait, prit ses chevaux et parti avec les seuls habits qu'il put sauver de l'incendie. Il laissa la vermine derrière lui, et galopa durant des jours. Il s'arrêtait aux points d'eau pour laisser les animaux se ressourcer, et dormait à la belle étoile. Il volait de la nourriture aux fenêtres des habitations qu'il croisait sur son passage, et très vite il arrêta de prier un dieu qui le priva de ses parents. Pendant des semaines, il chercha à quitter l'Italie, désireux, du haut de ses douze ans, de connaitre le monde et ses merveilles. Il avait envie d'apprendre à être heureux, puisqu'à présent plus rien ne le retenait dans une vie qui ne l'excitait aucunement. Malgré la profonde tristesse qu'il ressenti à la mort de ses parents, il fut aussi content à l'idée de pouvoir vivre sa vie comme il l'entendait. Il arriva en France alors qu'il atteignait ses Quatorze ans. Il avait passé deux ans sur les routes, croisant à tour de rôle des nomades, et des gens de haute société en voyage. Il s'arrêtait parfois dans de petit village où il apprit plusieurs travaux pour manger, et il tomba amoureux à son arrivée en province. Il était en Savoie, dans des montagnes magnifiques, et un soir alors qu'il se baignait nu dans une rivière gelée, une demoiselle vint à sa rencontre. Elle était descendue pour aller chercher de l'eau, dit-elle, et elle avait entendu du bruit. Il s'excusa, prétextant qu'il ignorait que ee terrain était occupé. Il lui faisait face dans aucune pudeur, et elle, elle devait avoir dix ans de plus que lui. « Votre sexe est bien petit messieur. » déclara-t-elle, trouvant Benjamin bien impudique envers une demoiselle qui avait droit à tous les honneurs. « Je peux vous assurer Madame, qu'il n'en ait pas de même lorsqu'il est bien au chaud. » répondit-il en lui offrant un sourire aguicheur et un regard insolent. Elle l'invita chez elle, où il séjourna durant quatre ans. Il devint un serviteur pour le père de la demoiselle. Il était Duc, mais refusait de séjourner à la cour car il préférait rester auprès de ses filles. Celle qui trouva Benjamin était la plus âgée, Maria. Il l'aima un soir d'été. Sa soeur cadette s'appelait Rose, et avait l'âge de Benjamin. Il l'aima le soir de Noël. Entre les deux se trouvait Flore, plus belle que les deux autres, et que Benjamin aima de nombreuses fois en cachette de ses soeurs. A ses dix-huit ans, il reçut une lettre d'un oncle dont il n'avait que vaguement entendu parler. Celui-ci, après mainte recherches, l'avait enfin retrouvé, écriva-t-il, et désirait le rencontrer.
La honte est ma seule vertue C'est la seule chose que dit Benjamin à cet oncle. Celui-ci le logea dans sa maison de Paris. Durant deux ans, le jeune homme vécu là dans des conditions si saines qu'il s'ennuya bien vite et chercha de la compagnie dans les quartiers malsain de la capitale. Il prit ses quartiers à Mont-martre. Il devint très vite un habitué des bordels et des maisons closes, et les filles aimaient le voir arriver sur son cheval le soir tombé. Il était romantique et amusant. Les prostituées lui avaient appris quelques petits tour. Il était devenu musicien, magicien, comédien, roi sous leurs caresses. Il jouait la comédie avec une telle virtuosité qu'il aimait se dire acteur, et il endossait tous les rôles qui lui étaient présentés. Il menait une vie de libertin, couchant avec les hommes et les femmes de son rang, mais aussi de plus haute lignée, en secret. Sa réputation et son nom était connu de toutes les femmes de Paris et dépassa la capitale. Il reçut nombre de lettre qu'il ne put jamais lire étant illettré, et qu'il donnait à son oncle pour qu'il les lui traduise. Cela l'agaçait, et agaçait aussi son parent qui n'appréciait aucunement les oisifs. Un jour, alors que Benjamin allait sur ses 21 ans, son oncle exigea de lui qu'il fisse ses affaires. Ils ne s'étaient rien dit durant deux ans, à part quelques formules de politesse, et c'est avec soulagement que Benjamin quitta Paris. Son oncle en avait assez de le voir et lui en avait assez de ne pas vivre seul. Il parti avec quelques habits et ses chevaux, et il prit la décision d'aller en Angleterre où le roi réformait l'Eglise de telle sorte qu'il fut le seul à avoir les pleins pouvoirs sur les croyants. Cela plaisait à Benjamin, car loin de craindre Dieu, c'était la Sainte Eglise qui l'effrayait. Il vendit l'un de ses chevaux pour avoir de l'argent, étant d'une belle lignée il reçut avec d'or pour vivre un certain temps. Arrivée à Londres il loua un appartement sous les toits où il vit depuis en attente d'un meilleur salaire. Il est sans arrêt dans les rues, où dans les bordels. Il y aime des femmes somptueuses auxquelles il raconte mille et une merveilles. Avant de partir dans la nuit en leur glissant cette phrase qui fera de lui une légende : « Tout le plaisir était pour moi. »

Prénom ∞ Lizzy's

•• Age : 17 ans
•• Localisation : Dans ma chambre mwouhahahah ~
•• Fréquence de connexion : Tous les week end et parfois la semaine ( sauf que pour le moment je suis en BAC blanc toute la semaine alors ... XD )
•• Comment es tu arrivé ici ? : Par le partenariat avec Les Nuits blanches de Sainte Pétersbourg **
•• Code du règlement ? Ok by Mary Tudor

Bonjour et Bienvenu parmi nous Benjamin ,

Je suis heureuse de voir ce personnage enfin parmi nous,
Il va certainement mettre de l'ambiance sur le forum, j'en suis même sure.
Surtout s'il est amené à amuser la Cour d'une façon ou d'une autre

Je te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche et,
Si jamais t'as la moindre question, ma boite Mp est ouverte =)

Je vais te valider le code du règlement, il est correct.

Oui, c'est un personnage qui me tenait à coeur. Les bulles sur l'avatar vont d'ailleurs parfaitement avec son caractère. J'espère que sa légèreté et la façon qu'il a(ura) de voler de fleur en fleur t'amusera et t'inspirera lors de tes Rps à venir.

Sinon, en ce qui concerne ta fiche, il n'y a pas de soucis. On a tous une vie irl donc, du moment que tu nous préviens, tout va bien .

Bon courage pour ton BAC Blanc donc

Citation :

qu'il a(ura) de voler de fleur en fleur


Comme c'est joliment dit en tout cas ~
Cela me conviendra sans doute, il y a bien longtemps que je cherchai un tel personnage \o/
Je vous remercie de l'avoir créé **

Merci, je tâcherai de ne pas trop tarder pour l'écrire ce week-end par contre \o/ J'ai bien peur que certains tentent de me voler Benjamin *T^T*

Merci bien Princesse \o/ Je tâcherai de vous faire honneur **
*out*

Ooooooh si cela ne vous dérange pas j'en serai ravi oui **
Merci \o/

Merci Princesse (a)

Je vous remercie Monsieur De Baiona ~ 

Dante Alestra a écrit:

Je suis tellement contente qu'on ait Benjamin! C'est vrai que c'est un super personnage! Bievenue parmi nous! ( et le forum des nuits de St Peterbourg est tellement beau )