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....Alejandro de Baiona . ♠ Nom : Juan Vasquez, Don de Baiona. ♠ Prénom : Alejandro, dit Aaró. ♠ Date de Naissance : 24 juillet 1496. ♠ Lieu de Naissance : Baiona, Galice. ♠ Age : 26 ans. ♠ Groupe : Lords. ♠ Célébrité : Orlando Bloom.

Mon Mental Il n'est ni courtois, ni attachant. Ce Duc, si distant et indifférent, que peut-on lui trouver de bien intéressant ? Cet homme méprise autant qu'il néglige les mondanités. La bienséance, règle de conduite et de savoir vivre indispensable, lui semble être étrangère. Que Dieu le pardonne. Don Alejandro est un homme sûr de lui, mais cela ne frise point l'arrogance. Silencieux, attentif, il n'est pas aisé de se trouver en sa compagnie. Que dire ? Que ne pas dire ? Le silence, embarrassant pour certains, est source de ravissement pour le corsaire espagnol. A ce propos, corsaire ou bien pirate ? Don Alejandro est un homme de qualité, il faut se l'avouer, de part son éducation et ses manières. Grand savant, il se murmure que l'homme lit beaucoup, non seulement des textes religieux, mais des écrits de toute autre nature... Les rumeurs le disent dur et froid, impitoyable dans les combats, habile au plus au point dans les transactions financières et marchés en tout genre. En plus d'être personne de connaissances, le Duc est très pieux. Cela semble compréhensible : avec la quantité de sang qu'il a fait verser, Don Alejandro doit trouver quelques réconforts auprès de Dieu le Tout-Puissant. Tourmenté, le dit-on, torturé au plus profond de son âme. Solitaire et imprévisible, les étrangers ne recherchent guère sa compagnie. Et lui non plus.

Mon Physique La silhouette du noble espagnol est grande, élancée voire fine en dépit de sa musculature imposante. Don Alejandro a fière allure et se déplace avec aisance. Ses gestes, tout comme ses paroles, sont pesés, contrôlés ; le monsieur n'est point maladroit. En sa qualité de corsaire, la peau du Duc est légèrement basanée. Ce trait physique, en plus de ses cheveux bouclés et de son regard sombres, lui donne un air ténébreux. Cela est accentué lorsque, voguant sur les mers, la possibilité de se raser la barbe n'est point permise au jeune homme. Don Alejandro est toujours vêtu élégamment, malgré sa résignation à ne point côtoyer le monde. Les habits portés sont généralement bleu foncé ou noir, ceux-ci s'accompagnant de fils d'or rappelant la haute naissance du corsaire. En été, lorsque Don Alejandro est à bord de sa frégate, il ne porte qu'une fine chemise blanche laissant entrevoir ses muscles tendus par les manœuvres du bateau. Le jeune homme a bien entendu reçu une éducation morale stricte, mais également une éducation physique. Don Alejandro apprit très jeune l'art et les règles du combat, auxquels il manifesta alors un très vif intérêt. En outre, le garçon avait toutes les qualités et prédispositions pour devenir un soldat expert. Il est donc tout à fait normal que le Duc connaisse le maniement de nombreuses armes. Entraîné à l'exercice physique, le corsaire est reconnu pour son endurance ainsi que la précision et la violence de ses coups. On loue également ses capacités de commandement, et de tactique, primordiales dans la guerre des courses.

Dear Diary

« Alejandro Juan Vasquez est natif de la ville portuaire de Baiona, située dans la province de Pontevedra en Galice. Ses premiers cris furent poussés dans le château de Monterreal. Cette forteresse médiévale, caractérisée par l’architecture seigneuriale galicienne, est entourée par la mer. Isolé de la ville, le domaine s’élève comme un impressionnant mirador sur l’océan, flanqué de fortifications et entouré d’une superbe pinède. Ces lieux accueillirent un garçon intrépide et fougueux, celui que l'on surnommait affectueusement, Aarò. Son père Carlos était un membre et courtisan de la Cour d'Espagne. De ce fait, le jeune homme ne connut le Señor Carlos qu'au travers des anecdotes des serviteurs. Cela ne le gênait point : il n'était guère de coutume qu'un père fut proche de son fils dans la province de Pontevedra. Comme il se devait, le garçon reçut une éducation stricte et complète. Il apprit le latin, le français, l'anglais et l'italien ; il fit l'étude d'une quantité importante de textes religieux. Le jeune Alejandro se trouvait plus souvent en mer que sur terre ; cela causait de vives inquiétude à sa mère Maria. Les flots pouvaient accueillir comme chasser, et tous les marins de Baiona en était pleinement conscients. Tragiquement, la famille seigneuriale le savait également. En effet, le frère aîné d'Alejandro, Don Salvador, avait trouvé la mort en mer, suite à une tempête. Cela avait plongé les parents, ainsi que les habitants, dans une profonde tristesse, pleurant ce fils si vite parti. Aarò, quant à lui, avec son air mutin et sa bonne humeur, avait fini par panser les plaies laissée de ce frère inconnu. Il entretint une tendre relation avec sa mère, qui se montrait affectueuse et attentionnée. Les années s'écoulèrent paisiblement, tantôt étudiant, tantôt voguant. A la grande satisfaction de ses mentors, le garçon se montrait attentif et vif d'esprit : il apprenait vite et retenait longtemps. Curieux de nature, Aarò ne manifestait aucune réticence face aux nombreuses lectures imposées. Cela se retrouvait lors de ses leçons de combat : en dépit de la fatigue ou bien de la douleur, Alejandro enchainait les différentes techniques. Très vite, on remarqua ses qualités de combattant : les leçons d'apprentissages se firent plus longues, harassantes, mais enrichissantes.

Lors de son quinzième anniversaire, le Señor Carlos revint sur ses terres. Il informa Alejandro des projets qu'il avait pour lui : une vie de courtisan et de soldat, cherchant une bonne épouse et guerroyant à tout va. A la grande stupéfaction de tous, le jeune garçon s'opposa à la volonté du père. Une violente dispute éclata, et les éclats des voix se firent entendre dans tout le château. Enfin, le fils quitta le domaine et partit en mer, seul, causant un grand désarroi aux habitants. Ces derniers craignaient, ainsi que les parents, de voir disparaître à nouveau ce fils chéri. Cette crainte se fit certitude, Aarò ne rentra pas. Ainsi, on le crut mort. Cette croyance était faussée ; le jeune homme, s'était retrouvé au piège des flots. Ne pouvant revenir en arrière, il s'était avancé au large afin d'attendre le moment propice et rentrer. Or Alejandro fut au mauvais endroit au mauvais moment. Une frégate de pirates arrivait aux côtes et on le fit prisonnier. Les pirates, ne reconnaissant point l'enfant de Señor Carlos, firent de lui un membre d'équipage. Le garçon s'était attiré la sympathie des mercenaires par sa bonne figure et ses prouesses physiques. Ainsi, il serait utile. Passèrent cinq années durant lesquelles Alejandro apprit le métier de marin comme il se doit : à la dure, sans concessions. Il connut ses premiers bains de sang, ses premières visions d'horreur, et des moments de joie passés avec les membres d'équipage. Ces hommes étaient durs et cruels, mais tous avaient une part d'humanité. Le Capitaine Alvaro, un homme de qualité malgré son statut de hors-la-loi n'avait pas été dupe : il connaissait les origines du garçon. Ainsi, considérant que la formation d'Aarò touchait à sa fin, le capitaine le ramena chez lui. A son retour, ce ne fut que des explosions de joie, des larmes, quelques reproches, mais beaucoup d'affection. Même du père. Ce dernier passa un marché avec son fils : si le jeune homme passait trois ans dans le Monde, il pourrait les trois années suivantes retourner en mer. L'accord fut conclu et Alejandro côtoya les grandes Cours d'Europe. Il devint un sujet reconnu de Charles Quint, et l'Empereur l'autorisa à reprendre la mer. Charles Quint lui fournit équipage, armes et frégate. Les deux hommes étaient comblés : l'un avait en son service l'un des plus grands navigateurs espagnols, et l'autre pouvait enfin quitter les intrigues des Cours. D'ailleurs, en dépit de la bonne réputation de la famille de Baiona, des rumeurs circulaient autour de Don Alejandro. Celui-ci, disait-on, était un pirate bien méchant. Mais cette ambiguïté concernant l'espagnol était une source de fantasmes chez les femmes, et d'envie chez les hommes.

Ainsi, trois années passèrent. Récemment, Charles Quint demanda à son corsaire de revenir sur les terres. Il le fit ambassadeur, et ce choix était justifié puisque, en plus de maîtriser plusieurs langues, Don Alejandro avait passé trois années aux Cours européennes qu'il connaissait bien. Le jeune homme se plia sous les désirs de son Empereur. Voilà que son départ pour l'Angleterre approche. Les négociations diplomatiques peuvent commencer. »

Prénom ∞ Icqn

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•• Code du règlement ? Ok by Mary Tudor.

Bien sur. Envois moi un Mp et je te réponds au plus vite.

Comme je l'ai dit en Mp, ta fiche me semble belle et bien finie mais, je vais attendre quand même le retour (et l'avis) des filles pour la valider. En attendant, je te permets de créer tes fiches (liens et topics).

Bienvenue,
Ambassadeur? Je ne suis pas sûr, déjà s'il y a Chapuys. Bref, je me trompe peut-être. Et sinon, belle fiche. =)