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....Nathanaël W. Sheppard . ♠ Nom : Sheppard ♠ Prénom : Nathanaël Walter ♠ Date de Naissance : 21 decembre 1948 ♠ Lieu de Naissance : Angleterre ♠ Age : 24 ans ♠ Groupe : Lords ♠ Célébrité : James McAvoy

Mon Mental Je suis ce qu'on pourai appeller un homme affreusement romantique. Pourquoi "affreusement" ? Et bien, je ne le sais guère. Demandez cela à toutes les femmes qui m'ont rencontré jusqu'à ce jour... Mise à part ce détail, j'estime avoir un minimum de savoir et sagesse malgré mon jeune homme. Ma naturelle naiveté m'en a fait voir de toutes les couleurs par le passé donc, je garde une part de méfiance envers tous ceux qui osent me parler. Je dits bien "osent" puisque peu de gens aiment parler à un poète introverti et rêveur à souhait. Ma mère ayant était trop bonne avec moi, je ne peut m'empecher d'aimer les femmes pour ce qu'elles sont. Qu'elles soient belles ou moins éclatantes de beauté, je ne les jugerai que part la grandeur de leur âme. Je dois cependant avouer que je ne suis pas insensible à une belle fleur lorsque j'en croise une. Que voulez vous, je ne suis qu'une pauvre homme...

Mon Physique Le moins que l'on puisse dire c'est que je n'ai pas le charme des grands hommes. Plutôt petit pour mon âge, je me contente du charme naturel que m'a confié mon père en me lègant la couleur de ses yeux. Le teint de ma peau ainsi que la couleur de mes cheveux me viennent, quant à eux, de ma bonne et tendre mère. Je ne prends pas souvent le temps de me raser puisque je considère cela comme du temps perdu. A la place, j'ai le temps de créer et reciter une dizaine de textes à une seule et véritable femme. Comme tout homme de mon rang, j'arbore les bijoux qui me sont dûs mais, ce n'est pas sans une certaine gêne. Les habits et les bijoux ne sont pas mon grand fort et, parfois, on se moque même de ma manière de porter les deux. Restons beaux au naturel, nous ne seront que plus charmants. Si pour cela, je dois porter un baton planté là où je pense, je vous laisserai volontiers ma place...

Dear Diary

Toutes les histoires commencent par il était une fois mais, dès son plus jeune âge, la vie de Nathan ne ressembla pas à un conte de fée. Il ne connut pas immédiatement la joie d’un foyer accueillant, d’une mère qui vous prend dans ses bras dès que vous vous êtes fait mal, ou un père aimant qui vous fabrique un cheval à bascule en bois pour vos quatre ans. Seule l’odeur poussiéreuse des murs du foyer qui l’avait vu naître lui revenait en mémoire chaque fois qu’il essayait de repenser à sa plus tendre enfance. Si l’on peut appeler ça une enfance...

Assis sous la table du salon, un tout jeune et fragile enfant serrait ses bras autour de ses genoux. Il se balançait d'avant en arrière comme si cela pouvait l'empêcher d'entendre les cris de son père. Il fermait ses yeux dans l’espoir que cela empêche les choses d’arriver mais, de temps à autres, des éclats de verre venaient quand même lui effleurer les pieds. Les débris de fenêtre que son père avait cassé entre deux coups portés à sa femme, la mère de Nath, avaient fini en mile morceaux éparpillés sur le sol du salon.
Se mettant un peu plus en boule sous la table, le petit garçon de 2 ans savait que bientôt se serait son tour. Lorsque sa mère tomberait inconsciente sur le sol froid du petit salon, son père saurai où chercher son fils pour pouvoir alimenter sa crise de démence. Cependant, ce jour là, il en décida autrement. Sa femme tomba belle et bien sur le sol et, un long silence s’en suivit avant qu’il ne vienne chercher Nath sous la table. Il paraissait tout attentionné, ce qui lui ressemblait pas du tout. Lui tendant une main, il lui demandait gentiment de lui faire confiance, qu’ils allaient simplement faire un petit tour dans la foret environnante pendant que maman dormait à même le sol. La dernière chose que Nathanaël souhaitait était d’énerver son père d’avantage donc, sans un mot, il sorti de sa cachette et pieds nus, il suivi l’homme qui le devançait et sortait déjà de la maison. Le sol dehors était humide et froid mais, ne voulant pas se plaindre, il n’en fit pas part à son père. Se contentant de le suivre gentiment dans la foret, ils arrivèrent bientôt près d’un lac. Ce fut une des première fois que le jeune garçonnet sourit. Il oublia toute l’horreur du foyer familial et couru vers cette eau paisible mais, peut-être trop pressée, il n’eu pas le temps de ralentir et tomba dans l’eau. Son père couru à son tour vers l’eau et, sans un regard pour son fils en pleures, il poussa sa petite tête de toutes ses forces vers le bas. Tout ce qu’il voulait c’était qu’il arrête de gigoter dans tout les sens, qu’il meurt. Trop égoïste, il ne voulait pas d'héritier…

Ce vacarme finit par réveiller la curiosité d’un autre homme qui chassait dans le coin. Il se trouva que cet homme était le Duc en personne. Aussi silencieux qu’un chat, il ne mis pas des siècles à trouver l’origine du bruit qu’il entendait. Il mis cependant un peu plus de temps à comprendre ce qui se passait sous ses yeux. A la vu de ce triste tableau, il n’hésita donc plus et il sauva l’enfant en danger. Pourquoi se donner tant de mal pour un enfant inconnu me direz vous mais, ce que je ne vous ai pas encore dit c’est que cet homme venait d’en perdre 3 d’affilé. Tous ces fils étaient morts avant l’âge de deux ans. Malgré cela, il avait su garder son autorité en restant fidèle à sa femme et, ce soir là, en sauvant ce garçon, le cœur blessé deviendrai enfin le père aimant qu’il ne croyait plus pouvoir être. Nathanaël, le jeune et fragile enfant devînt dés lors membre d'une famille unie et, qui plus est, le fils adoptif du Duc. La rumeur qui court raconte donc qu'il le fît cet acte par bravoure et solidarité. Parce qu'il sentit que l'enfant n'était pas un enfant comme un autre. On dit qu'il su dés lors qu'il le vu, qu'il s'agissait d'un maître doté d’un don inimaginable. L'instinct paternel est ce que qui fait de cet acte un acte si honorable.Aujourd’hui, cet homme au grand cœur et mort et c’est Nathanaël qui a la lourde tache de porter les bijoux représentatifs des grands ducs du royaume d’Angleterre. Envoyé à la cour, il continue de donner des nouvelles à sa mère qu’il respecte énormément. Elle ne cache pas la fierté qu’elle a envers son seul et unique fils. Elle ne peut pas s’empêcher non plus de lui rappeler à quel point son vieux et pauvre mari avait raison. Leur fils est bel et bien un petit génie en son genre. Doté du don des plus grands poètes et de l’esprit des plus grands hommes, le jeune homme rêveur est aujourd’hui considéré comme un des plus doués. Il n’y a que son caractère, trop modeste et égocentrique, qui perturbe ceux qui le rencontrent pour la première fois. Pourquoi faut-il que les hommes plus cultivés et géniaux soient toujours dotés d’une certaine folie ?

Prénom ∞ Surnom ou Copyright

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